Voilà deux mois jour pour jour que l’organisation terroriste du Hamas commettait les pogroms du 7 octobre en Israël, massacrant ainsi 1 400 personnes, en très grande majorité civiles, des nourrissons aux vieillards.
Depuis, les libérations d’otages se font au prix d’un échange odieux d’une vie innocente contre trois prisonniers de droit commun, preuve de l’absence totale d’humanité de ces barbares.
La communauté internationale doit agir avec la plus grande fermeté contre le Hamas, dans l’intérêt autant des Israéliens que des Palestiniens. La France doit montrer l’exemple.
C’est en ce sens que le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Bruno Le Maire, a pris des arrêtés le 30 novembre dernier pour geler les avoirs économiques détenus en France par trois des dirigeants terroristes du Hamas.
Ce n’est pas suffisant. Le Hamas compte au moins six autres dirigeants à sa tête et il est impensable de leur laisser une quelconque possibilité de financement venant de notre pays.
Fort de cette conviction, j'ai adressé au ministre un courrier pour exiger que des arrêtés supplémentaires soient pris pour geler les fonds et ressources économiques de tous les dirigeants de l’organisation terroriste qu’est le Hamas.
Je resterai mobilisé tant que les avoirs de chacun des noms figurant sur la liste des dirigeants ne seront pas gelés.