A l'occasion du débat sur les fonds d'aides au développement internationaux à l'Assemblée nationale, j'ai été le premier orateur à m'exprimer sur le contrôle de l’aide au développement à l’autorité palestinienne.
Alors que nous commémorons dans la plus grande tristesse les 100 jours du massacre du 7 octobre et la prise d’otage par les terroristes du Hamas de plusieurs dizaines de personnes de tous âges et de toutes nationalités, il est essentiel que nous combattions l’antisémitisme aussi bien en France, en Occident qu’au Proche-Orient.
Ce combat passe nécessairement par l'assurance que les fonds alloués par la France avec l'Union européenne dans le cadre de l’instrument européen pour le voisinage, le développement et la coopération internationale (NDICI) sont bien destinés à financer des programmes sur les droits de l’Homme et la démocratie et non pas l'endoctrinement des enfants palestiniens par des manuels "scolaires" glorifiant les actes terroristes antisémites.
Ces fonds alloués par la France représentent une enveloppe de près de 100 millions d'euros en 2022. Nous ne pouvons permettre un doute sur leur destination.
J'ai donc interrogé la ministre afin de savoir quels moyens notre gouvernement met en oeuvre pour assurer que les aides déployées par la France avec l’argent de nos concitoyens financent le développement de la nécessaire éducation pacifiste et éclairée des enfants palestiniens et non le terrorisme antisémite, l’obscurantisme et le fondamentalisme.
Je continuerai sans relâche à combattre le terrorisme islamiste et toute forme de haine liée à une religion ou une origine. Nous ne céderons pas face aux intimidations barbares.
Retrouver ma prise de parole dans l'Hémicycle de l'Assemblée nationale : https://fb.watch/pDK8dzPuEn/