J'avais rencontré les familles des otages du Hamas le 16 octobre dernier à Tel Aviv lors de ma mission d'urgence et de solidarité en Israël.
Avec mes collègues députés, nous leur avions affirmé le soutien indéfectible de la France à leur égard et notre mobilisation dans le combat pour leur libération.
Nous les avions également invités à l'Assemblée nationale afin qu'ils puissent y témoigner et porter la voix de leurs proches captifs dont ils n'ont aucune nouvelle et qui ne peuvent faire entendre la leur.
C'est ce que nous avons fait ce 8 novembre et je les remercie de leur courage.
Je salue le plein engagement du Président de la République Emmanuel Macron et des services français pour faire libérer les 9 citoyens français, mais plus largement chacun des 240 otages de 50 nationalités toujours retenus par les terroristes du Hamas. Jamais nous ne les abandonnerons.
Il ne s'agit pas de politique, il s'agit d'humanisme. Nous ne devons, sous aucun prétexte, oublier les victimes des massacres du 7 octobre, comme toutes les victimes de la barbarie terroriste.