Une réforme des études en santé était nécessaire pour mieux former et mieux insérer les futurs professionnels de santé, à l’heure où nous manquons cruellement de soignants.
La suppression du numerus clausus était déjà une excellente nouvelle, mais d’autres modalités avaient besoin d’être ajustées.
Le gouvernement a entendu les remontées de terrain des députés en annonçant de nouvelles mesures. Celles-ci seront mises en œuvre dès la rentrée universitaire 2021 - 2022 :
- Augmentation de la part des places pouvant être réaffectées d’un parcours à l’autre ;
- Création d’une commission d’examen exceptionnelle au sein de chaque université pour examiner les situations individuelles ;
- Organisation de sessions de rattrapage pour les mineures de chaque parcours.
L’objectif est de garantir aux étudiants les meilleures chances de réussite et de mieux répondre aux attentes des soignés et des soignants.
Ces avancées vont porter leurs fruits et améliorer l’offre de soin dans les territoires où nous vivons et en particulier dans le Berry !